0%
0%
0%
0%

Low Code / No Code : Développer plus vite, plus simplement

Développement

Développement

Développement

Développement

low code no code

Lonestone

Product Studio

Lonestone

Product Studio

Lonestone

Product Studio

Lonestone

Product Studio

27 novembre 2024

    Nos experts partagent leurs expériences sur le blog. Contactez-nous pour discuter de vos projets !

    Low Code / No Code : Accélérer et démocratiser le développement d’applications

    En ce moment, il y a deux grandes tendances à noter : d’un côté, la transformation numérique des entreprises est bien lancée et devient un enjeu incontournable. De l’autre, il manque cruellement de développeurs en France, ce qui complique pas mal de projets. Alors, comment faire pour créer une application web ou un site web si on n'a ni les talents ni les compétences sous la main ? C’est là que le duo Low Code / No Code entre en scène ! Plus qu’un simple buzzword, c’est à la fois une approche et un ensemble d’outils qui promettent de simplifier le développement. Découvrons ensemble ce que ça peut changer !

    Comprendre le Low Code et le No Code (LCNC)

    Qu'est-ce que le No Code ?

    La philosophie derrière le No Code, c’est de permettre à des utilisateurs de créer des applications à travers des interfaces visuelles, même s’ils n’ont aucune compétence en développement. Ces interfaces visuelles sont ce qu’on appelle des outils no-code. Grâce à des solutions comme Bubble ou Webflow, il devient possible pour n’importe qui de concevoir des interfaces utilisateurs pour une application, un logiciel ou un site web. Le tout grâce à un processus de création simplifié.

    Nous reviendrons en détail sur ce point, mais on peut déjà dire que le No Code représente une aubaine dans plusieurs contextes :

    • Entreprises : pour lancer des preuves de concept (PoC) ou des MVP (Minimum Viable Products) sans engager trop de ressources financières ni humaines.

    • Entrepreneurs : pour les porteurs de projet solo avec des idées innovantes, mais qui n’ont ni expérience technique ni budget suffisant pour embaucher des développeurs.

    • Salariés et managers : pour améliorer leur productivité en créant eux-mêmes des outils et automatisations, sans devoir dépendre de leur DSI, ce qui apporte plus de liberté, de flexibilité et d’agilité.

    En France, où la pénurie de développeurs chevronnés freine la croissance de nombreuses entreprises, le No Code se positionne comme une solution idéale pour réduire les délais de mise en œuvre et élargir l’accès aux innovations digitales. Les outils No Code permettent ainsi de répondre aux besoins des structures qui souhaitent gagner en efficacité, tout en démocratisant l’accès à la création technologique.

    Qu'est-ce que le Low Code ?

    Le Low Code, quant à lui, correspond à l’approche intermédiaire entre le No Code et le développement informatique classique. Certes, le Low Code implique un minimum de compétences en code, mais dans cette approche, une grande partie du développement est automatisée (tout en restant modifiable par du code manuel en cas de besoin).

    Des plateformes low-code comme Xano, Supabase et NHost permettent de concevoir des produits numériques plus complexes qu’en No Code ; des applications où il faut apporter plus de personnalisations, au niveau du front-end mais aussi en ce qui concerne le back-end.

    Cette approche très flexible est aussi intéressante pour les développeurs de métier : elle peut leur faire gagner du temps sur des tâches simples et répétitives. C’est aussi, à l’instar du No Code, une façon pour l’entreprise de moins souffrir de la pénurie de développeurs en France ou pour des créateurs, de s'émanciper du besoin d'avoir un développeur dans l'équipe.

    Différence Low Code vs No Code

    Comme on vient de le souligner, le Low Code et le No Code ont certains avantages en commun. Mais il y a aussi des différences. La plus importante et la plus évidente d'entre elles, c’est la quantité de code que l’utilisateur de l’outil doit produire pour développer l’application.

    Pour le No Code, tout est dans le nom : pas la moindre ligne de code n’est attendue de l’utilisateur. En effet, l’outil dont il se sert contient déjà de quoi mettre au point un produit numérique simple dans le but de répondre à un besoin de l’entreprise. Ainsi, des employés non formés au développement, souvent appelés “citizen developers”, vont pouvoir produire des applications pour leur propre branche de l’entreprise (marketing, RH, pôle commercial, etc.)

    Le Low Code, quant à lui, nécessite parfois d'écrire du code pour répondre à des besoins plus complexes, pour des projets plus personnalisés. C’est donc le bon compromis entre rapidité de mise en production et flexibilité dans les ajustements techniques, mais il suppose un minimum de formation au code.

    Outils clés du Low Code / No Code

    Développement d’applications web et mobiles

    Les outils no-code et low-code peuvent tout aussi bien servir à développer des applications web que des applications mobiles ou encore des sites web.

    Bubble

    Premier outil auquel il faut s’intéresser : Bubble, une plateforme no-code extrêmement populaire pour le développement d’applications web. Sa valeur ajoutée, c’est son approche totalement visuelle sur tous types de tâches :

    • Conception des pages ;

    • Définition des workflows ;

    • Gestion des bases de données ;

    • Création d’API pour l’intégration des services externes (paiement, CRM, gestion d’emails).

    Bubble est aussi très flexible : vous pouvez concevoir des interfaces responsives (adaptables à différentes tailles d'écrans) et gérer des interactions complexes en frontend ou en back-end. Par exemple, si votre entreprise souhaite créer une application de gestion interne pour le suivi des projets et des ressources humaines, Bubble vous permettra de le faire simplement tout en intégrant des fonctionnalités spécifiques comme la gestion des utilisateurs, des rôles ou des autorisations.

    C’est un outil particulièrement utile aux entreprises et créateurs d'entreprise qui veulent mettre en place un MVP ou tester une idée sans investissement lourd en développement.

    Webflow et Framer

    Webflow et Framer se concentrent davantage sur le développement de sites web, avec des spécialités légèrement différentes. Ces plateformes permettent de créer des sites vitrines, des portails interactifs ou même des e-commerces sans nécessiter de compétences en programmation.

    Webflow :

    • Conception d’interfaces visuelles avancées (HTML/CSS généré automatiquement) ;

    • Gestion de contenu (CMS) ;

    • Ajout d’interactions (boutons, animations, etc.) ;

    • Optimisation pour le SEO et les performances.

    Framer :

    • Focus sur les prototypes interactifs et les animations fluides ;

    • Possibilité de transformer directement un prototype en site fonctionnel ;

    • Intégration avec des outils tiers pour enrichir l’expérience utilisateur.

    Ces outils conviennent parfaitement aux équipes marketing ou aux designers souhaitant prendre le contrôle du développement web sans dépendre d’une équipe technique.

    Retool

    Retool se distingue par sa capacité à accélérer la création d’applications internes. Contrairement à Bubble, qui s’adresse à une audience plus large, Retool est conçu pour les entreprises cherchant à bâtir des outils puissants rapidement, tout en connectant leurs données existantes.

    Points forts de Retool :

    • Intégration rapide avec des bases de données ou des API tierces ;

    • Construction d’interfaces personnalisées pour visualiser et manipuler les données ;

    • Automatisation des tâches internes grâce à des workflows simples.

    Un exemple d’utilisation ? Créer un tableau de bord interne pour suivre les performances des ventes ou gérer les stocks en temps réel, avec une interface sur mesure pour chaque département.

    Xano : Le low-code pour le back-end

    Contrairement aux outils précédents (majoritairement orientés front-end), Xano est une plateforme low-code dédiée au back-end. Elle permet de :

    • Gérer les bases de données ;

    • Configurer des workflows complexes ;

    • Créer des API robustes pour connecter des applications.

    💡 Attention : même si vous n’avez pas besoin de coder, Xano requiert des notions d’algorithmie (logique conditionnelle, boucles, comparaisons) pour structurer efficacement vos workflows.

    Un exemple concret : une entreprise qui développe une application CRM peut utiliser Xano pour gérer l’authentification, organiser les données clients et créer des règles d’automatisation.

    "Houla ! Ça me semble bien compliqué Xano, vous m'aviez dit qu'il n'y aurait pas de code..."

    C'est vrai que beaucoup de solutions promettent 0 ligne de code, mais des connaissances en algorithmie restent nécessaires pour créer des logiques complexes.

    Certains développeurs considèrent que le terme "low code" est mensonger, le "code" prenant tout simplement une autre forme (visuelle, graphique) plutôt que textuelle.

    Supabase

    C’est une autre plateforme open-source et low-code de gestion d’API/bases de données. On l’utilise souvent pour développer des fonctionnalités clé-en-main qui gèrent l'authentification, la gestion des permissions et un accès aux données en temps réel.

    Supabase proposera à l'utilisateur de spécifier le schéma de ses données, de façon visuelle, avant de créer une base de données PostgreSQL basée sur ces spécifications.

    Il mettre alors à disposition une API REST et une API GraphQL pour accéder, modifier, créer et supprimer des informations dans la base de données, sans que l'utilisateur n'ait besoin d'écrire une ligne de code.

    Cette solution est utilisée dans des projets plus complexes, car elle permet aux développeurs de prendre la main et d'écrire du code personnalisé quand il faut gérer de la logique complexe. Elle propose aussi une fonctionnalité dite "temps réelle" pour que les modifications de la données soient affichées en instantané et de façon fiable sur les frontends (à la manière des websockets).

    De plus, comme Supabase est basé sur Postgres, il offre toutes les fonctionnalités avancées de cette base de données relationnelle, comme les jointures complexes, les triggers, ou encore les transactions. Cela en fait une plateforme toute indiquée pour qui souhaite assurer une gestion optimisée des données tout en limitant la charge de développement.

    NHost, la solution open source

    NHost est une plateforme low-code open-source qui fluidifie la création d’applications, avec une approche très similaire à celle de Supabase :

    • Gestion de bases de données ;

    • Authentification des utilisateurs ;

    • Requêtes GraphQL.

    C’est un outil particulièrement intéressant lorsqu’on souhaite éviter de passer par des services Cloud complexes.

    Parce qu’il est en open-source et qu'il est compatible avec GraphQL, NHost confère aux entreprises un contrôle total sur leur infrastructure tout en bénéficiant de la rapidité et de la simplicité du low-code.

    D’une manière générale, l'avantage de tous ces outils réside dans leur capacité à accélérer le développement, et donc à réduire les délais et les coûts de production. Ce qui permet donc de répondre rapidement aux demandes des métiers et de créer des applications sur mesure en interne.

    liste outils low code no code

    Outils d’automatisation et d’intégration

    Outre les outils de développement d'applications ou de sites, il existe également des outils no-code et low-code spécialisés dans l’automatisation et l’intégration de processus. Des plateformes comme Make (anciennement Integromat) ou Zapier permettent de connecter différentes applications entre elles et d'automatiser des tâches répétitives.

    Ces outils seront particulièrement utiles à votre entreprise si vous cherchez à améliorer l'efficacité de vos processus métier tout en réduisant la charge de travail de vos employés.

    Les outils d’automatisation sont souvent de bons compléments aux plateformes lowcode et no-code, notamment pour les connecter les unes aux autres. Surtout pour créer des workflows automatisés qui facilitent la gestion de projet. Par exemple, vos chefs de projet pourraient utiliser Zapier pour automatiser l'envoi de notifications lorsque certaines actions sont réalisées, via une application développée sur Bubble.

    Exemple :

    • Créer un formulaire avec Tally (no-code), ses réponses sont envoyées à Make qui les enregistre dans Supabase

    • Un utilisateur supprime une entrée dans Supabase, l'évènement est envoyé à Make, qui fait passer le mot à Mailjet pour envoyer un email transactionnel avec les bonnes informations

    Cas d'utilisation simplifiés

    Pour des cas d'utilisation plus simples, Airtable offre une solution flexible pour la gestion de bases de données légères avec une interface intuitive. C’est pour cette raison que cet outil est souvent utilisé pour des projets de petite envergure où une application complète n'est pas nécessaire. Si on veut ajouter des fonctionnalités supplémentaires, il est toujours envisageable et très simple d’intégrer des API via Airtable.

    Avantages et inconvénients du Low Code / No Code

    Avantages du Low Code / No Code

    L'un des principaux avantages du Low Code et No Code est la rapidité de développement : on réduit beaucoup le "time to market" et les délais de mise en production, ce qui apporte un avantage concurrentiel certain, notamment pour une entreprise en pleine croissance.

    Le deuxième avantage majeur est l'accessibilité de ces outils aux non-développeurs. Grâce à cette démocratisation du développement, les employés des fonctions métiers peuvent désormais créer des applications répondant à leurs besoins en toute autonomie, sans avoir à mobiliser des développeurs de métier.

    Un autre avantage, qui découle des précédents, est la réduction des coûts car en permettant aux employés non techniques de développer des prototypes (MVP/POC) et applications simples, les entreprises peuvent réduire leur dépendance à des équipes de développement importantes et économiser sur les coûts de recrutement de développeurs expérimentés. Sans oublier que la mise en production est plus rapide.

    Inconvénients du Low Code / No Code

    Malgré leurs nombreux avantages, le Low Code et No Code ont tout de même certaines limites. La première des critiques qu’on pourrait leur faire c’est qu’ils sont pour la plupart des outils propriétaires et donc payants pour les entreprises qui les utilisent.

    Le business model le plus prisé des plateformes no-code et low-code est l’abonnement. Si on n’utilise qu’un ou deux outils, cela ne pose pas de problème mais si on souhaite en utiliser plusieurs pour des projets différents, les factures d‘abonnement atteignent ensemble des montants non négligeables. En outre, les outils propriétaires s’accompagnent de licences d’utilisateurs et de conditions générales d’utilisation. Autrement dit, on ne peut pas faire tout ce qu’on veut avec un outil propriétaire

    Second inconvénient de ces outils, leurs limites techniques. Bien que le Low Code et No Code soient idéaux pour des projets courts ou des MVP, ils sont nettement moins intéressants pour répondre à des défis plus techniques :

    • Localisation en plusieurs langues et dans plusieurs régions du globe ;

    • Protection de la confidentialité des données ;

    • Fonctionnalités spécifiques à un usage très précis.

    Concrètement, les outils low-code no-code ne sont pas toujours adaptés à des projets exigeant de hauts niveaux de performance, de sécurité ou de contrôle.

    Enfin, ils ne sont pas tous égaux en terme de qualité et de fonctionnalité quand il s'agit de redonner la main aux développeurs / de les combiner avec du code.

    En effet, le versionning (capacité à tracer les changements et à les annuler en cas de bugs), la collaboration (tracer qui a fait quoi) et la cohabitation avec du code personnalisé sont souvent des fonctionnalités en dessous des attentes de développeurs, voir carrément inexistantes.

    Cela peut rendre difficile le passage du low/no code vers une solution "faite maison", et engendrer de sérieux surcoûts. Il est donc primordial de savoir quand utiliser ces solutions, et quand passer sur du fait maison, avant qu'il ne soit trop tard !

    avantages inconvénients low code no code

    Quand utiliser le Low Code / No Code ?

    Pour des projets courts ou très courts

    Vous l’aurez compris, le Low Code No Code (LCNC) est particulièrement efficace pour des projets courts avec un objectif unique. Le développement de prototypes tels que MVP ou POC en est l'illustration parfaite, mais aussi des petits outils à usage unique.

    Ces outils permettent de tester rapidement des idées sans mettre à contribution trop de ressources pour le développement. Ce qui s’avère est un excellent avantage dans des environnements où la rapidité est valorisée pour valider des concepts ou des propositions de valeur.

    En effet, plus on développe rapidement, plus vite on peut amener un prototype du produit auprès d’utilisateurs pour qu’ils puissent les tester, et plus vite on est en mesure de décider s’il faut poursuivre ou arrêter le projet de développement. On optimise les ressources de l’entreprise et on minimise les risques très tôt dans le cycle.

    Pour des projets durables : attention à la gestion des données

    Lorsqu'on envisage des projets plus pérennes, apprendre à maîtriser les données devient un enjeu de premier plan. En effet, plus on va vers la complexité, plus les applications ont besoin d’interagir avec des bases de données et plus elles sont amenées à évoluer sur le long terme.

    C’est pourquoi il est conseillé de vérifier que vous choisissez des plateformes LCNC qui vont dans ce sens. Rappelez-vous : Supabase et Xano sont conçues pour ça, notamment grâce à l’utilisation de bases de données solides comme Postgres et à des API robustes.

    Limites d’utilisation : projets complexes nécessitant un contrôle total

    On l’a vu, les outils LCNC montrent leurs limites dès qu’on commence à se diriger vers des applications complexes. Si vous avez besoin d’un contrôle total sur la partie technique, on recommandera plutôt :

    • d’opter pour des solutions codées manuellement

    • d’utiliser des frameworks web comme React ou Flutter pour le développement front-end

    • de ne servir du LCNC que sur des projets internes ou des back offices moins sensibles.

    Au final, l’approche et les outils low-code no-code s'imposent comme des leviers puissants pour répondre aux besoins croissants des entreprises en matière de développement d'applications. Ce processus se retrouve de fait démocratisé, au moins pour les projets simples et courts comme des prototypes produit. Cela allège le besoin en développeurs, diminue le "time to market" et réduit les coûts. Toutefois, il faut garder à l’esprit que cette agilité n’est possible que pour des projets simples, courts et sans contraintes de sécurité, de localisation ou de personnalisation.

    Pour vos projets de produits numériques les plus complexes, Lonestone vous fait bénéficier de son expertise de pointe en matière de développement informatique ainsi que de services de cadrage projet, design web et appli, gestion data, etc. Faites appel à nous !

    À retenir sur le sujet :

    Le no code c’est quoi ?

    Le no code est une philosophie de développement informatique pour créer des solutions sans avoir à écrire de code. Le no code repose sur des outils visuels et intuitifs via lesquels les utilisateurs peuvent créer des applications ou des sites sans aucune compétence technique en programmation. C’est très utilisé par les équipes métiers internes aux entreprises, afin qu'elles puissent se créer des outils simples sans faire appel à une équipe complète de développeurs.

    Le low code c’est quoi ?

    Le low code est une approche similaire au no code, sauf qu’il faut un minimum de compétences en développement pour en utiliser les outils. C’est tout de même un énorme gain de temps pour les utilisateurs et les compétences requises peuvent s’acquérir assez facilement et rapidement. Logiquement, le low code permet de mener à bien des projets un peu plus complexes que le no code.

    Quelle différence entre no code et low code ?

    La principale différence entre le no code et le low code réside dans la quantité de code nécessaire. Le no code permet de créer des applications sans aucune programmation, tandis que le low code nécessite un peu de code pour des ajustements ou des fonctionnalités personnalisées. Le no code est idéal pour des projets simples ou pour les utilisateurs non techniques, alors que le low code convient mieux à des projets plus complexes nécessitant une certaine flexibilité.

    On continue la lecture ?

    On continue la lecture ?

    On continue la lecture ?

    On continue la lecture ?